Créer son propre mode de vie : tout commence par une intention.

Créer son propre mode de vie : tout commence par une intention.

Est-il possible de créer son propre style de vie ?

Chaque année voit l’émergence de nouveaux modes de vie alternatifs : du minimalisme, au nomadisme jusqu’au tiny house movement. Des “lifestyle” souvent pensés pour satisfaire une envie (de liberté, d’épanouissement, de curiosité,…), se créer une vie sur-mesure ou celle de simplement concrétiser ses rêves.

Quel que soit le style de vie que tu souhaites atteindre, il te sera nécessaire de poser une intention, une vision et/ou des objectifs.

Aujourd’hui, je te propose de le faire en suivant l’énergie d’un mois 1 (Janvier 2025) en combinaison avec une énergie collective 9 (celle de l’année 2025) pour savoir naviguer avec ces énergies présentes en nous et autour de nous.

Tu peux écouter la version audio qui se nomme Janvier 2025 : laisse émerger ton intention profonde.

I – INVENTER SON PROPRE MODÈLE DE VIE, DE TRAVAIL ET DE RELATION

Mon exemple : une retraite avant l’heure

Depuis 2023, je suis brassée par cette énergie de la « retraite ». A l’âge de 15 ans, on m’a dit : ” tu n’auras jamais de retraite !” Et ça m’a toujours interrogée, parce qu’à 15 ans, on ne perçoit pas vraiment ce qu’est la retraite. Aujourd’hui, je commence à comprendre, non seulement parce que : j’ai vu mes parents entrer en retraite, j’ai vu tout ce process dans ma vie de salariée – j’ai d’ailleurs toujours trouvé ça un peu étrange – mais aussi parce que j’ai suivi des cours d’économie.

Déjà toute jeune, je me voyais travailler jusqu’à ma mort. Pas forcément le travail au sens rémunérateur, mais au sens activité, être en mouvement tout simplement. Un peu comme ces personnes de 80-90 ans qui s’expriment dans les médias, font des livres, mais aussi qui ont une activité dans la nature ou qui cultivent leur jardin. 

Et je sens que je suis arrivée à cette étape de ma vie où j’ai besoin de fabriquer mon propre modèle de retraite. J’ai envie de mettre une intention sur cette énergie de retraite, une vie sabbatique à l’intérieur de ma vie de création.

Sortir des schémas établis : poser une intention

Il ne s’agit pas d’arrêter mes activités, mais de sortir d’une forme de construction autour de la notion de travail, autour de la notion de métier, autour de la notion d’entrepreneuriat.

Dans cette lenteur qui m’a été proposée, il y a cette idée d’avancer tranquillement, de ressentir l’hiver, de ressentir mon énergie et de ne pas foncer tête baissée dans les énergies sociétales d’affolement, de rentrée, etc. Ça ne m’intéresse pas ! Je n’ai pas besoin de m’agiter. 

Je suis en train d’inventer un modèle de vie, MON modèle de vie. Parce que j’ai assez expérimenté. Après 40 années d’expérimentation, à un moment donné, on peut peut-être se donner une chance d’inventer son modèle de vie, de création ou de relation. 

Et c’est d’ailleurs ce qui va teinter toute mon année 2025 dans mes accompagnements et dans mes espaces de création, de facilitation et de parole. C’est cette idée de t’accompagner, toi, à créer : ton modèle de vie, ton modèle de travail, ton modèle de création, ton modèle de relation. 

C’est à cet endroit-là que j’ai envie de me placer en 2025 et que j’ai envie d’accompagner toutes les personnes qui vont venir dans mes espaces à ressentir cet appel de l’innovation, de la nouveauté, de l’ouverture. Et tous ces mots, c’est quoi ? Ce sont les énergies de l’année 2025 avec l’énergie 9.

II – LES ÉNERGIES DE L’ANNÉE 2025 : INNOVATION & OUVERTURE

Le 9, cette énergie du plein !

Je pourrais faire neuf heures de conférence sur cette énergie, tellement il y a de choses à en dire. Je sors d’une année 9 personnelle. Je l’ai donc intégré pour pouvoir mieux t’en parler. Ces audio-influences sont teintés, de ce que j’ai appris dans ma formation de numérologie, mais aussi de tout ce que j’ai expérimenté. 

Généralement, j’expérimente les énergies de l’année avant le collectif, si j’ose dire. C’est comme si je les vivais deux fois : une fois via mon année personnelle et l’autre fois via l’année collective. Comme si j’avais besoin de comprendre par deux fois que le relâchement, ce n’est pas une vue de l’esprit, c’est mon besoin et mon désir profond. 

C’est l’occasion de documenter comment j’arrive à construire ma vie sabbatique et ma retraite avant l’heure. Comment je déconstruis tout ça pour vivre ma vie avec le modèle que je sens, mais dont je ne connais ni les contours ni ce qui va se passer. 

Mais il y a cette idée de se détendre dans l’expérience, de se relâcher, et d’être à l’écoute de toutes les tensions pour pouvoir moi-même faire le choix du relâchement. Donc ça va beaucoup passer par le corps, mais aussi par le mental.

L’alliance du corps et du mental

L’année 2025, au niveau collectif en France, on est sur une année où on met la santé mentale au premier plan. C’est la « grande cause nationale ». Ce qui fait miroir à l’année 2023 qui était une année qui parlait beaucoup de santé mentale. 2024 a parlé beaucoup de traumas, des traumas systémiques. Et là, on revient sur la santé mentale. 

C’est intéressant parce que ça fait le lien avec notre année 9 collective. Une année qui vient nous brasser, toutes et tous, sur notre plan mental. Si tu connais la numérologie créative alors tu connais la spirale d’évolution et d’involution. 

Dessus tu trouveras un nombre sur le plan mental. En général, c’est là où il y a beaucoup de blocages et de contrôles. Où le corps est complètement exclu. 

On a beaucoup cheminé collectivement, et je dirais depuis 2020 et en particulier depuis 2023, sur les questions de santé mentale, sur les questions de traumatisme et sur ce que ça provoque dans le corps. Donc par conséquent sur le plan mental, et vice et versa, puisque tout ça communique. Il n’y a pas de séparation malgré tout ce qu’on nous enseigne. 

Alors, comment peut-on faire une cause nationale sur la santé mentale SANS parler de la santé du corps ? Pour moi, il y a quelque chose qui déconne à cet endroit-là. On est obligé de parler du « tout » et le « tout » c’est aussi le 9, il n’y a pas de séparation, nous sommes tous et toutes reliés. 

Notre plan mental – qui est notre manière d’agir dans le monde – va être révolutionné. Ça, c’est un des énormes messages à retenir de l’année 2025.

Une énergie de Clôture et de Naissance

2025 arrive et pousse ta porte et te dit : “tu ne vas pas continuer à agir, à fonctionner, à travailler comme tu l’as fait jusqu’ici !” Cette phrase va peut-être t’amener un soulagement si toi aussi, tu cherches à vivre une vie de retraite. 

Regarde le lien avec la cause nationale du gouvernement français sur la santé mentale. Si on est tous et toutes invités à relâcher notre manière de faire pour en inventer une nouvelle, c’est que ça va nous faire travailler sur ce plan mental. Mais pas comme en 2023 parce que nous avons appris depuis. Il y a beaucoup de connaissances qui sont sorties sur ces sujets, donc nous allons le vivre autrement. 

Et je vais accompagner ce mouvement ! Je me fais une joie d’accompagner ce mouvement ! Depuis plusieurs années, nous sommes invités à faire différemment : consommer différemment, voyager différemment, relationner différemment, relationner entre hommes et femmes différemment, relationner avec les enfants différemment. Tout nous invite à agir différemment. Et ce n’est pas si facile que ça ! Ça demande souvent de lâcher des parts de nous. 

Je t’invite à te demander : 

Qu’est-ce que tu as lâché ces dernières années dans ta manière d’agir ? 

Qu’est-ce que tu ne fais plus comme avant ? 

N’hésite pas à croiser tout ce que je te dis avec les autres guidances, les autres personnes que tu consultes en astrologie, en human design, etc. Toutes les personnes qui te transmettent des messages. Fais des liens, prends le temps de te poser. 

Pourquoi ? Parce que l’année 9 collective, c’est une fin de cycle. Nous sommes arrivés collectivement à une fin de cycle. Et 2023, 2024, 2025 ont été des années collectives, éminemment collectives. C’est-à-dire que les énergies 7, 8, 9, dans un cycle, ont eu plus de poids par rapport à ton année perso. 

Il ne s’agit pas de ne pas regarder ton année personnelle, au contraire c’est intéressant de faire l’alliance entre ton année personnelle et l’année collective pour pouvoir processer chaque mois. C’est ce que je t’invite à faire à travers mes guidances.

L’année 9 est une année de clôture et de bilan, mais c’est surtout une année d’ouverture. Et souvent, c’est ce qu’on oublie de dire. Alors oui, il y a des fermetures, des séparations, des clôtures, mais il y a aussi des ouvertures et des accouchements. 

Plus tôt, je te disais que j’étais en année personnelle 9 l’année dernière. Et j’ai vu beaucoup de personnes enceintes qui ont accouché en fin d’année ou qui accoucheront en ce début d’année. C’est assez impressionnant..

2025, si ça se trouve, sera une année de record au niveau des accouchements. On verra bien, en 2026, au niveau des chiffres, mais potentiellement, c’est une année où il peut y avoir beaucoup de nouveaux humains qui apparaissent. Parce que nous sommes dans une nouvelle ère, et qu’on va ouvrir aussi l’année prochaine un nouveau cycle. 

L’année 2026, sera une année 1, qui représente le positionnement, le soleil, le leadership. Et là, le leadership sera collectif. C’est  le collectif qui va enfin se réveiller et reprendre le pouvoir. SON pouvoir. Et ça veut dire quoi ? C’est un retour à notre humanité. En tout cas, c’est ma lecture. 

Donc en résumé cette année 9, c’est : ouverture, gestation, une année qui parle d’humanisme, d’humanité, de conscience collective, de communauté et d’innovation.

Nous sommes invités chacun et chacune à renaître en nous-mêmes, à reconnecter en notre centre, et c’est précisément ce que le mois de janvier 2025 t’invite à faire en cette année 9.

III – LES INVITATIONS DU MOIS 1 DE JANVIER 2025

Un mois spécial en année 9 : ralentir pour mieux se reconnecter à soi

Janvier 2025 est un mois 1 qui t’invite à te reconnecter à toi et ton centre.

Ce mois de janvier est spécial car il est aligné avec le mois de janvier qui est le premier mois de l’année. C’est comme si on avait deux fois le 1 en janvier 2025. Et ça va être comme ça jusqu’en septembre. Il n’y a qu’en année 9 où il y a ce double alignement. 

Ca renforce le 1. On est invité dans ce premier mois de l’année à faire corps avec la nature, avec notre nature et notre fonctionnement. Le 1, c’est l’énergie de la cohérence, de l’instant, de la présence. C’est l’énergie du je suis, quelle place j’ai, j’existe, je veux, je suis positionné-e. 

Je t’invite à te demander : 

–  est-ce qu’en ce moment tu prends le temps de ressentir la place où tu veux être ?

–  est-ce que tu es à ta juste place ? 

Pour trouver les réponses à ces questions, ça va te demander du temps et de ne pas être dans le tout feu tout flamme de l’action.

Janvier est un mois important qui initie et qui permet de planter les graines dans une année 9 qui nous parle d’ouverture. Pourquoi est-il important ? Parce qu’une des ombres du 9, c’est le trop plein, mais ça peut être aussi la peur du vide.

Une année 9 peut nous dés-ancrer. Alors si tu n’étais déjà pas très ancré, ça peut te mettre dans un flou : trop de choses, trop d’informations, trop de réseaux, trop de gens, trop de contradictions ou trop de choses à faire. 

D’où l’importance de prendre le temps en ce mois de janvier. Janvier qui est toujours un mois initiatique, et là, profite de ce double 1 pour pouvoir vraiment sentir en conscience les graines que tu es en train de planter.

Un mois pour prendre le temps : semer et planter les graines du changement.

Le mois 1, c’est vraiment l’énergie de la légitimité, de la volonté, de l’autorité. Qu’est-ce que tu veux vraiment, profondément, planté comme graine cette année ? Quelle que soit l’année personnelle où tu es, quelle graine as-tu envie de planter ? 

Vous êtes des entrepreneurs, des créateurs, des créatrices, des artistes, des artisans, des artisanes. Vous êtes des personnes qui proposez au monde vos créations, vos messages. Donc vous êtes complètement branchés, et si c’est pas vous, c’est votre entreprise, au collectif. Cela vous demande, peut-être deux fois plus, de réfléchir en conscience aux graines que vous voulez semer et planter cette année. Parce que ce sont des graines qui vont être récoltées dans le cycle suivant. 

Vivre l’hiver en ce moment, ce n’est pas une option. C’est une nécessité, c’est presque une hygiène de soi. C’est une question de santé mentale, ou plutôt de santé de prendre ce temps-là – même si dans le monde dans lequel on vit, c’est presque un luxe. 

Le 9 nous invite, je l’ai dit tout à l’heure, à relâcher nos manières de faire, nos manières de penser, nos manières d’agir dans le monde, nos manières de travailler. Et ça commence en janvier. 

Donc si depuis le 1er janvier, voire fin décembre, tu étais en train de sentir que tu n’avais pas envie de faire grand-chose, eh bien, assume-le, honore-le. Le temps que tu perds à te flageller, à t’en vouloir parce que tu n’as pas fait cette tâche, tu n’as pas envoyé ce message, etc., c’est du temps et de l’énergie que tu prends à ton détriment. 

Voilà ce que j’avais envie de te partager pour ce mois de janvier 2025.

Un mois pour embrasser nos individualités : loin des limites du collectif.

Pour résumer, l’Année 9 est une année d’ouverture et d’innovation. Elle vient nous faire travailler sur notre manière d’agir dans le monde. 

Janvier 2025 est un mois 1 et un double 1, qui nous demande de rester dans notre axe, de rester dans notre corps, de rester dans notre leadership, de sentir notre volonté et notre indépendance d’esprit. 

Le 9 est une énergie collective, une énergie de communauté et on peut s’y noyer. Donc dans toute cette énergie et ce dialogue entre notre individualité et le collectif, il y a besoin que tu sois positionné-e, que tu sois en mode leader et que tu saches où tu veux aller. 

On ne peut plus être dans les collectifs qui étouffent nos individualités ! Que cela soit à l’école (mettre des uniformes aux enfants, par exemple) à l’église, au travail, etc. En gros, tout ce qui écrase nos individualités. 

C’est toute la notion d’universalisme, de penser que tout le monde pense pareil. J’écoutais encore quelqu’un qui parlait comme si sa pensée était la vérité. Il disait en plus que nous sommes arrivés dans une ère où toutes les sensibilités sont exposées et que ce n’est pas normal. Et lui, il parlait d’universalisme. Je suis contre ce type de message, parce que oui, ma sensibilité est importante, je l’ai suffisamment écrasée en croyant que je n’étais pas normale. Pourquoi ? Parce qu’il y a un collectif qui pèse avec ses normes, et ça, on doit en sortir. De toute façon, on va en sortir ! On est déjà sur ce chemin, cette décennie nous a emmenés là-dessus. 

On va en sortir avec notre individualité, à ne pas confondre avec l’individualisme, ce n’est pas la même chose. L’individualisme c’est ce qui nous pousse à se sentir séparés, à nous sentir supérieurs, à avoir aussi des gens qui pensent être nos chefs, à détenir la vérité, cette organisation pyramidale, à avoir ces personnes sachantes qui dirigent le monde, cette poignée de personnes qui prennent des décisions pour toute une humanité, voire même au-delà de l’humanité. Ce temps-là est fini !

Janvier est un mois idéal pour semer des graines en conscience et cela doit partir d’une posture de légitimité, d’autorité, de volonté et d’indépendance d’esprit. Parce que si ton élan est de partir en mode sacrifice par rapport à ton accompagnement, ça ne sera évidemment pas bon. 

Nous sommes en train de construire un autre modèle entre le collectif d’un côté et l’individu de l’autre. Enfin plutôt, l’individu à l’intérieur du collectif et une bande de leaders. C’est ce qu’on est en train d’inventer et de créer comme modèle.

Un mois pour accepter sa lumière : de leader à leader

Et ça, les systèmes en place ne connaissent pas. Évidemment qu’il va y avoir de la résistance ou qu’il y a des gens comme Elon Musk qui vont venir nous dire quoi faire et quoi penser. C’est tout l’inverse de l’énergie 9 qui nous parle d’humanisme. C’est aussi ça le dialogue dans l’ombre et la tension entre le 1 et le 9. 

Soit on est dans une individualité collective où on parle de leader à leader et on arrête d’être dans une posture de sachant vis-à-vis des autres, et aussi d’avoir cette posture de je ne sais rien. Oui, dans l’absolu, on ne sait rien. Mais pourquoi par rapport à telle personne, tu as l’impression de ne rien savoir ? Pourquoi tu te mets dans cette posture ? 

C’est pourquoi l’année 9 vient brasser toutes nos énergies mentales, qui que tu sois, et même les gens qui n’écoutent pas la numérologie vont avoir ce reset de comment on agit dans le monde. Donc je t’invite à te poser avec tous ces sujets pour voir ce qui te parle, ce qui ne te parle pas du tout. Note-le et ferme ton cahier. Il n’y a pas besoin d’y réfléchir, tu verras le mois prochain ou à la fin de l’année, peu importe. 

Je t’invite à stocker et enregistrer cette guidance pour la relire en septembre-octobre 2025. Tu verras les résultats de ce que tu as semé, de ce qui s’est passé, et tu en auras besoin pour entamer le chemin collectif du 1 qui se présentera à partir du mois d’octobre et en 2026. 

Voilà pourquoi je dis que cette guidance est importante, car 2025 est notre guide. Et si 2025 est un guide, c’est que toi aussi, avec ta propre vibration, ta propre spirale, ta propre interprétation du monde,… tu es aussi un ou une guide. Et c’est aussi d’accepter d’être ce guide, cette guide pour les autres sans rien avoir à faire à part allumer ta lumière. 

Donc moi la question que je vais te poser c’est : 

Est-ce que ta lanterne est allumée ? Est-ce que ton feu brille ? Est-ce que tu es dans ce 1 du mois de janvier ?

– Avant même de planter les graines d’ailleurs : Est-ce que tu existes ? Est-ce que tu reconnais ton identité, ton originalité, ton positionnement ? 

Dans une année d’ouverture, on va éclater les frontières et nos murs intérieurs. C’est pour ça qu’on parle de chaos avec le 9, mais en même temps c’est un chaos extrêmement organisé parce que derrière on fait de l’espace, on crée du vide pour amener du nouveau. 

Et donc la question sur laquelle je vais terminer, c’est  : 

Quelle intention tu as envie de semer cette année ? C’est le travail du mois de janvier, de l’espace-temps de ces 31 jours de janvier 2025. Quelle intention ?

Un mois pour prendre le temps de poser son intention : vision 2030 Projet 25

Tu vois bien que le travail sur la vision ou le travail sur les bilans demandent du temps. Donc ne t’inquiète pas si tu n’as pas une vision claire de ce que tu veux faire

Si tu sens un élan, mais que tu n’as pas les formes ou que tu n’as pas le comment, ça va venir. 

Et ça, je t’en reparle en mars avec le programme Vision. C’est un programme collectif pour des entrepreneurs matures, des entrepreneurs artistes, des entrepreneurs artisans et/ou artisanes. Il y a cette dimension entrepreneuriale, mais aussi cette dimension d’artiste qui invente des nouveaux modèles et qui ose sortir du connu.

Dans Vision 2030 Projet 25, on va beaucoup plus loin, on est sur une vision 2030 qu’ on va ramener à 2025 pour mener un de tes projets de cœur et on va l’accompagner pour qu’il se réalise. C’est la nouveauté de cet accompagnement. 

On va travailler sur la vision de tes créations, de ta vie, et en même temps, on va accompagner ton projet, dans un deuxième temps à l’aide de la numérologie et d’un outil qui s’appelle le cycle d’accomplissement. C’est un outil dédié à la création et au développement de projets. 

Je pense qu’on est suffisamment prêts et prêtes pour embarquer dans un accompagnement qui parle de vision et d’accompagnement au projet. On va s’amuser, et ça, ça va démarrer fin mars ! 

D’ici là, tu peux aussi faire les rendez-vous individuels de numérologie créative pour ton thème personnel, approfondir une question, un sujet, que ça soit de l’ordre professionnel, personnel, business, ou tout en même temps. 

Les rendez-vous individuels de numérologie créative ont lieu uniquement en janvier-février puis en septembre-octobre. Je ne les fais pas dans d’autres périodes donc, si tu as envie de venir, ce sera un plaisir de t’accueillir dans ces séances. 

Je pense que j’ai dit beaucoup de choses sur le mois de janvier et sur 2025, mais je n’ai pas parlé de la partie ombre.

Un mois dans l’ombre : oU l’art de se sentir illégitime.

C’est le syndrome de l’imposteur. Car si tu te sens illégitime au lieu de sentir ta propre autorité, qu’est-ce que tu fais ? Tu obéis. Et à qui on obéit ? Aux normes, à l’État, à un gouvernement, à son conjoint, etc. Le 1 te demande d’être ta propre autorité. Je pense qu’il n’y a rien de plus difficile que de valider tes propres décisions et d’être dans une posture de l’adulte. 

Le 1 dans l’ombre, c’est aussi la retenue : retenir son élan, retenir son rayonnement, retenir qui tu es. C’est un sujet dont je parle beaucoup ! Si tu sens que tu as de la retenue, il est peut-être intéressant de se questionner : 

    • Où est-ce que je me retiens ? 
    • Où est-ce que ça se manifeste même dans le corps ? À quel endroit du corps je ressens une tension ? 

Le 1 dans l’ombre, c’est aussi le fait de ne pas affirmer ses prises de position, d’être passif ou  indécis. C’est le fait de parler en on, au lieu de parler en JE.

IV – UNE ANNÉE POUR PENSER, INCARNER ET ASSUMER SES MODÈLES DE VIE

Je pense qu’on est beaucoup à ressentir les nouveaux modèles qui arrivent et qu’ils vont passer par nous, par notre corps et par notre expérience. Évidemment, ils ne peuvent pas passer par l’extérieur. Nous sommes cette génération de transition, du XXe au XXIe et au IIe millénaire et plus. 

Nous sommes cette génération qui portons en nous les nouveaux modèles, qui a dû se défaire des anciens pour aller dans le nouveau. Nous sommes des passerelles ! Nous sommes des passeuses et des passeurs !

Tu le sais. Tu le sens. Tu es arrivé-e à une maturité par rapport à tout ce que tu as fait jusqu’ici, il y a un autre temps qui s’en vient. Et je te propose de cheminer, de voyager et d’innover ensemble. Innover dans le sens : faire du nouveau de l’intérieur comme une forme d’accouchement. 

Je t’invite à te demander : 

  • De quoi ou de qui vas-tu accoucher cette année ? 
  • Quel nouveau modèle tu as envie d’incarner, même si tu ne connais pas tous les contours ? 

Donne lui un nom, moi j’appelle ça la retraite, la vie sabbatique. Je sais bien que ce sont juste des concepts. 

C’est un mouvement qui mixera cette notion de retraite avec ma vie d’entrepreneure, d’artiste et de créatrice. Qu’est-ce que ça pourrait donner comme autre nom ? Je n’en sais rien, j’ai pas le nom de mon mouvement encore, mais je suis, tu es, nous sommes cette personne qui invente un mouvement. 

Tu  es cette personne dans ton milieu et dans ton champ d’expérience, alors assume ce positionnement. Parce qu’on va avoir besoin de toi collectivement en cette année de renouvellement de tous nos modèles. On va avoir besoin de personnes très ancrées pour pouvoir inventer ces modèles-là. 

Et ça ne va pas être mental, ça va passer par nos corps d’humains et par nos expériences. 

Voilà ce que je voulais te dire pour janvier 2025.

Conclusion

Je t’invite à mettre en marche ton intention, à sentir que ton envie d’initier même si tout n’est pas fait. Ce n’est pas parce que tu inities ce mouvement de ton intention que ça a pris corps. C’est intéressant de le voir ainsi pour enlever toute forme de pression. 

Lorsqu’on pense à l’intention, mais qu’on n’a pas encore son plan, sa vision tout à fait claire et tous ses objectifs calés, c’est parce que l’intention a d’abord besoin d’émerger. Et quand tu fais émerger cette intention, détends-toi là-dedans et emmène dans ta visualisation, emmène cette intention jusqu’à la fin de l’année et au-delà. 

Ce n’est pas une intention qui doit se réaliser là, demain. Tu le sais, mais visualise-la pour que ça s’ancre dans ton corps. 

C’est comme mon intention de retraite et de vie sabbatique, je sais très bien que je ne vais pas avoir résolu tous les problèmes et tous mes questionnements cette année. Mais par contre, je prends cette intention, je la marche, j’en parle, j’en parle tout le temps, tous les jours, pour essayer justement qu’elle s’incarne. 

Pour attirer à moi les opportunités, les synchronicités, les actions, les idées, les intuitions qui vont me permettre d’incarner cette nouvelle vision et ce nouveau modèle de vie que j’ai envie d’avoir pour moi.

C’est ça marcher son intention.

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Lors de la dernière saison des Étincelles (2023-2024), j’ai proposé aux membres de réaliser un podcast collectif. C’est dans cette conversation collective – la première – que nous avons parlé de notre rôle média et de comment nous l’incarnons ou non en tant qu’entrepreneur-e. 

J’ai donc invité dans cet épisode les premiers membres de la saison radieuse à répondre à ces questions. 

Il était important de se questionner sur les mots : médias et podcast. Qu’est-ce qu’ils veulent dire pour chacun/chacune d’entre nous ? Mais le plus important : quel rôle média chacun/chacune occupe déjà ?

Je t’invite à ton tour – à travers cet article – à te questionner sur ton rôle médiatique et sur la création de ton propre média.

I – L’importance de se questionner sur son rôle médiatique

Pourquoi j’ai lancé cette discussion autour du rôle média ? En quoi c’est important de s’interroger sur cette question ?

1. Identifier son rapport à sa propre communication

Il peut être négatif comme positif, mais ce rapport au média génère sans doute en toi une vision qui façonne l’utilisation de tes canaux de communication (réseaux sociaux, blog, newsletter…)

C’est le cas de Cindy qui s’est lancée dans l’univers du podcast à cause ou grâce à son rapport conflictuel avec les médias.

“ Moi, le média ça me fait toujours réagir parce que je l’associe à beaucoup de négatifs (…) et aux journalistes. Je suis en colère depuis 2/3 ans contre les journalistes donc ça me fait un peu vriller. Je l’associe aussi à l’information un peu codée, un peu élitiste et concentrée d’où le fait que – quelque part –  je me suis lancée dans le podcast, parce que moi à l’inverse le podcast je l’associe à de la liberté. Je l’associe au fait d’entendre d’autres voix et des voix qui ne sont pas forcément issue du même cercle”

Cela permet aussi de se rendre compte de l’engagement que ça demande, de nos peurs face au format choisi ou à l’inverse nos idées reçues qu’on se fait.

Par exemple, Thibaut considère que les réseaux sociaux nous demandent un renouvellement constant : savoir quoi dire, donner de la valeur ou encore susciter l’intérêt.

“ Quand on me demande la vision du média à mon niveau personnel, ben moi c’est le réseau social. Le réseau social aussi est un média de transmission, d’information et j’ai bien aimé ce que tu disais Marjorie [sur] le singulier de média c’est médium, donc (…) il y a cette image de canal : de l’information qu’on reçoit et de l’information qu’on transmet avec le filtre qu’on est nous. Et encore une fois, selon mon point de vue, sur Instagram où il y a toujours ce mouvement (…) de se renouveler, de donner de la valeur, de rendre quelque chose ‘intéressant. (…) donc c’est cette foi du créateur, du créateur de contenu de savoir se renouveler, donner de l’intérêt, donner de la valeur, etc”

2. Les 3 questions à te poser

Si tu es entrepreneur, tu communiques sur tes offres donc tu touches déjà au sujet de la médiation, mais j’ai envie de savoir ce qu’il y a de plus pour toi. Où est-ce que tu te situes dans ce jeu des médias ?

Voici trois questions que tu peux te poser : 

  1. Quel est ton rôle médiatique ?
  2. Est-ce que tu prends la parole sur des sujets autres que tes ventes ? Sur des sujets collectifs, politiques et/ou de société ? 
  3. Si ton entreprise venait à fermer demain, est-ce que ton message s’éteint aussi ?

Je t’invite à te questionner sur ton propre rôle média, à y mettre de la conscience et à élever la voix.

II – Qu’est-ce qu’un rôle média pour un entrepreneur ?

1. Média – Médiation – Médium

Média est le pluriel de médium qui signifie en latin : le milieu, l’intermédiaire. Et finalement, c’est ce qui est ressorti de cette conversation collective : un intermédiaire qui facilite les transmissions. C’est exactement ce que Catherine nous a partagé.

“Ok, moi je suis restée sur le mot média (…) et moi ce que ça m’évoque c’est cette idée d’être enfin le côté intermédiaire finalement qui est là entre deux personnes, deux cibles quelque part pour véhiculer un message. Est-ce que moi j’ai une scène médiatique ? Alors pas au sens où on l’entend, avec la télé, la radio ou autre. C’est plutôt dans mes accompagnements où c’est moi le média, c’est moi le canal ! Je reçois le message et je transmets ! (…) Je mets des mots sur des maux et j’ai effectivement cette faculté à dire ce qui a besoin d’être entendu pour que la personne se réconcilie avec elle-même “

C’est aussi un moyen d’entendre d’autres voix, d’écouter d’autres expériences de vie avec lesquelles nous allons raisonner et qui vont nous faire cheminer comme le précise Magalie.

“Le podcast pour moi effectivement c’est une porte d’entrée vers d’autres histoires et d’autres expériences donc je sais pas (…) si je fais partie de ces gens qui ont besoin d’entendre les expériences des autres, mais en tous les cas c’est comme ça que je suis en réceptivité. C’est-à-dire que d’entendre d’autres personnes, dans d’autres sphères, qui vivent d’autres histoires, me permet de faire mes propres boucles.“

2. Quel rôle veux-tu choisir d’incarner ?Quel rôle veux-tu choisir d’incarner ?

Ton rôle média peut s’incarner de multiple façon. D’ailleurs, nous étions tous d’accord que nous avions un rôle média dans notre cellule familiale : celui ou celle qui apporte l’information. 

Je te partage 3 exemples de rôle média que les entrepreneures du collectif des Étincelles ont choisi d’incarner.

Une “transmetteuse”

Catherine se considère comme un canal qui reçoit d’un côté un message et le retransmet de l’autre. Elle qui est spécialisée dans la santé holistique, se … comme ayant la mission de mettre des mots sur des maux.

“Le média pour moi, c’est un moyen de transmettre et moi, j’ai toujours été une transmetteuse depuis toujours. Et effectivement, il y a des gens qui ont besoin d’autres gens pour avoir des informations qui n’arrivent pas (…) [à] chercher eux-mêmes l’info, parce que soit ils se sentent perdus soit ça leur paraît trop ardu. (…) Ils ont besoin d’autres personnes pour leur pré-mâcher, leur simplifier, leur synthétiser (…) et donc moi, j’ai cette transmission et cette mission de transmission.”

Une “accountability partner”

Cindy qui est Podcast Manager a choisi d’être une partenaire de responsabilité. Celle qui permet aux autres de continuer à publier, tenir leur solomédia à travers un podcast.

“A la question de ma place dans les médias ben moi (…)  je permets à d’autres de tenir leur engagement dans leur propre média, c’est le rôle que j’ai décidé de jouer et c’est un acte quasi politique de donner la parole aux autres (…)” 

Une ressource

Nolween a créé un groupe avec des amies où elles s’échangent des podcasts à découvrir. C’est une autre manière d’être un  média.

“ Mon rôle de média (…) la seule chose que moi, j’ai mis en place avec quelques amis, c’est un petit réseau WhatsApp où on partage nos podcasts, ceux qui nous ont nourris. Ça permet d’avoir une cible plus intéressante sans avoir à se perdre sur tout un tas de médias. On s’envoie comme ça nos podcasts et on se les échange. En général, comme on est un réseau de quelques copines qui s’entendent très bien et qui partagent les mêmes idées, c’est toujours riche et nourrissant ce qu’on peut s’envoyer. “

Ton rôle média peut s’incarner de multiple façon. D’ailleurs, nous étions tous d’accord que nous avions un rôle média dans notre cellule familiale : celui ou celle qui apporte l’information. 

III – Comment devenir son propre média ?

Une fois qu’on a compris que nous avions tous un rôle médiatique et choisi la manière de l’incarner. Il est temps d’identifier comment nous pouvons devenir notre propre média : le fameux solomédia business.

1. Choisir son support

Doris a choisi un rôle de vulgarisatrice, ce qui lui permet d’expliquer des concepts qui peuvent être parfois difficiles à appréhender. Mais ce qui est intéressant, c’est la forme qu’elle a choisi pour le faire : l’écrit et la vidéo avec sa chaîne YouTube. 

“Oui, moi j’ai un rôle médiatique ! Dans le sens où j’ai un rôle de transmission et de vulgarisation des concepts du fonctionnement de l’humain et aussi des concepts de ce qui est dans l’invisible (…) Jusqu’à présent je l’ai fait [sous] forme de vidéo, d’écrit et de formation

Que cela soit un podcast, une chaîne YouTube, un blog ou une newsletter s’interroger sur son rapport au média t’as sans doute permis de faire émerger des peurs ou des idées reçues sur le format. Un peu comme Marie qui avait déjà songé au podcast, mais qui se posait beaucoup de questions sur la partie technique.

“Le podcast (…) demande un engagement et (…) c’est un truc auquel j’avais un peu réfléchi, mais [ca] demande aussi de se mettre dans des questions techniques qui pour moi sont assez impressionnantes. Voilà, c’est assez impressionnant l’idée de monter,  de rajouter du son, le bon micro, etc.(…) C’est impressionnant, mais pas non plus un truc infranchissable, je pense !”

Prends donc le temps de choisir, le canal de communication qui te correspond le mieux.

2. Choisir ses critères et son intention

Pour Magalie, designer d’espace, l’esthétique est importante autant que l’accessibilité. Elle tente par exemple d’éviter les anglicismes pour permettre à chaque aidant de comprendre sa mission.

“Après (…) est-ce que je suis un média ? Oui, je suis mon média ! Avec aussi cette disparité que ça sous-entend d’être son propre média, parce qu’en fait, je le suis dans mes accompagnements, je le suis dans ce que je délivre en fait à mes clients, dans la forme, dans la façon de les accompagner donc en fait le média pour moi, il doit être ténu. J’y mets un soin vraiment très important : il doit être beau, il doit être quand même nourri d’une expérience, mais surtout, il doit être accessible (…) donc voilà il y a aussi ça il y a comment on fait aussi pour toujours avoir cette attention en soi d’embarquer (…) le plus grand nombre qui soit touché ou non. “

3. Poser son intention

Lors de cette première session, j’ai pris la parole pour partager mon intention première issue de ma vision. Celle d’être une patronne de média, sans savoir réellement comment faire. Et c’est aussi ce que je t’invite à faire : qui souhaites-tu incarner ? quel projet pousse en toi ?

Je te partage un extrait de ma propre réflexion : 

“Merci Marie ! Intéressant de ramener le sujet de l’argent, du pouvoir et de qui possède les médias.
Souvent les médias – en tout cas en France – sont associés à des industries donc des capitaines d’industrie comme on dit.
Je sais plus si je l’avais dit ici, mais moi au début de l’année je suis arrivée avec cette phrase : (…) “
je veux être une patronne de médias” et je l’ai dit plusieurs fois au début de l’année 2023. Je pouvais observer comment ça réagissait en face de moi.
Quand les gens étaient dans la même dimension, ça leur parlait parce qu’ils savaient ce que je voulais dire, la question n’est pas de remplacer les boss actuels. Il y avait dans mon propos une dimension politique et féministe. Parce qu’il n’y a pas de femmes qui sont capitaines de médias aujourd’hui en France.(…)
Donc comment on renouvelle le genre ? (…) Et quand je disais cela (…) je ressentais mes freins internes, comme si je n’avais pas le droit de le dire, [comme si] je n’avais pas ma place dans cette mission de patronne de média. Je n’avais pas de rôle modèle, et en fait j’ai senti – comme pour Les Etincelles à l’époque (en 2018) : ce n’est pas parce qu’il y en a pas qu’on va pas en créer.
Quand, Marie, tu parles de qui finance notre podcast à nous ? J’ai envie de dire : c’est vous. V
ous êtes les co-producteurs (…)
On finance par nous-mêmes on fait et on crée par nous-mêmes !”

Conclusion

Qu’est-ce que tu penses de tout ce que tu as lu ? Comment ça vient nourrir ta réflexion d’entrepreneur qui communique ? 

Derrière le mot média,  pour moi, il y a une énergie, une intention de lien et de relation avant même celle d’information !  Média – médiation – Médium : on retrouve dans ces 3 mots la notion de lien, de tiers ou d’intermédiaire.

Je crois que tout le monde a un rôle média et ça commence dans sa famille. 

Regarde si tu es cette personne qui amène de l’information à l’intérieur de ton cercle familial, de ton cercle amical ou même de ton cercle professionnel. Regarde si c’est toi ou si ce sont les personnes autour de toi qui ont plus ou moins ce rôle d’amener de l’information. Que cela soit en lien avec l’actualité du monde, de ton métier, avec la vie d’entrepreneur,  la santé , l’environnement ou la politique, etc. 

On est tous et toutes apporteurs d’information au sein de nos micro-cercles et de nos micro-sociétés.

Les voix des ÉTINCELLES : Qui a parlé dans cet épisode ? 
Les membres des Étincelles cités :
Marjorie Bastard – Coach 
Catherine Piette – Accompagnante en santé mieux-être 
Thibaut Gouhier – Astrologue 
Cindy Nipau – Podcast Manager 
Magalie Halley –  Designer Matière et Couleur au service des lieux de vie qui accueillent des personnes âgées 
Marie Labarrière – multi-entrepreneure, ex-éducatrice de rue, thérapeute familiale et systémique 
Nolwenn Barranger – Bras droit des chefs d’entreprise notamment sur la partie ressources humaines 
Doris Allard –  Accompagnante qui est devenue entre-temps créatrice de la boutique Maison Myrtille vers Sancerre

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